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Un abattoir bientôt de retour à Beaumont?

Fermé depuis plusieurs années, l’abattoir de Beaumont reprendra-t-il bientôt du service ? Une étude de faisabilité, lancée avec le soutien des autorités locales, permettra de le savoir. Les éleveurs, eux, espèrent une réponse positive.

La Bleue Mixte, une race locale et durable mais toujours menacée

C’est chez Vincent Vandromme, éleveur à Boussu-lez-Walcourt (Froidchapelle), qu’Elevéo et la Commission raciale Bleue Mixte ont convié Willy Borsus à une découverte de cette race locale. L’occasion pour les agriculteurs présents de vanter les multiples atouts de leurs animaux mais aussi de faire part au ministre de leurs craintes quant à la nouvelle politique agricole commune qui, selon eux, menace la pérennité de la Bleue Mixte.

Existe-t-il un lien entre la dermatite des fentes du pis et la maladie de Mortellaro?

La dermatite de la fente du pis (DFP) ou dermatite mammaire ulcérative (DMU) est une affection cutanée des vaches âgées située au niveau de l’attache antérieure du pis ou entre les moitiés antérieure et postérieure du pis. Il est important de traiter les lésions au stade léger le plus tôt possible. Il existe des similitudes mais aussi des différences avec la maladie de Mortellaro.

Un nouveau service génomique pour les femelles en race Blanc-Bleu Belge

Déjà utilisée depuis de nombreuses années en race Holstein, la génomique fait son apparition dans l’élevage Blanc-Bleu Belge. Après quelques années de mise au point et grâce à la collaboration de près de 50 fermes pilotes et des équipes de recherche de l’awé groupe et de l’Université de Liège, le service génomique est à présent disponible pour toutes les femelles en race Blanc-Bleu Belge.

Le choix des lecteurs

Des données objectives pour déconstruire les clichés sur l’élevage bovin

Le secteur de l’élevage bovin partage les premiers résultats qui ressortent d’un observatoire de la durabilité pour la période 2019-20. Plus de la moitié des éleveurs belges (53 %) utilisent des sources d’eau alternatives, 44 % utilisent des produits dérivés de l’industrie alimentaire pour nourrir leurs animaux ; 67 % maintiennent les populations d’hirondelles, de chauves-souris et/ou de hiboux ; plus d’une exploitation bovine sur cinq (22 %) investit dans ses propres énergies renouvelables.

Dépenses en hausse et recettes minimales –voire inexistantes! – pour les éleveurs laitiers

En 2019, les frais inhérents à la production de lait, y compris une rémunération adéquate des éleveurs, étaient supérieurs au prix payé aux producteurs dans les huit principaux pays européens producteurs de lait. « Et ce, sans même qu’il soit tenu compte des investissements nets moyens », commente l’EMB, commanditaire de l’étude. Les coûts oscillent entre 34,21 ct/kg en Irlande et 58,63 ct/kg en Lituanie, pour une moyenne dans l’UE atteignant 45,35 ct/kg. Ces chiffres attestent d’une part non-couverte des coûts entre 9 % (Irlande) et 51 % (Lituanie) ; l’écart moyen dans l’UE étant de 24 %.

Elever un grand troupeau? C’est une gestion et la mise en place de nombreux protocoles à respecter

L’exploitation laitière Vital Laschet, située à Hombourg, c’est près de 400 laitières, près de 3,6millions de litres de lait produits par an, 5 salariés, des saisonniers… « C’est une gestion et la mise en place de protocoles à respecter pour le bien-être et la santé des animaux. Mais la gestion d’un grand troupeau ne va pas de soi », avoue Arnaud Beckers, gérant de l’exploitation. Rencontre

A la ferme du Bairy, à Sinsin: «Les sécheresses répétées nous ont conduits à revoir notre manière de travailler»

Située à Sinsin, à cheval entre les provinces de Namur et du Luxembourg, la Ferme du Bairy a connu de nombreux changements durant ces vingt dernières années. Arrivée d’une nouvelle génération, aménagement d’un atelier de transformation, conversion à l’agriculture biologique, construction d’un poulailler… ont quelque peu métamorphosé la ferme familiale. Julien Dawagne, associé à sa maman, Marielle Leboutte, depuis 2015 nous fait faire le tour du propriétaire.