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Voir l'offre d'abonnementLa majorité des parcelles est actuellement au stade 1er nœud. L’helminthosporiose et la rhynchosporiose sont observées dans quelques champs mais le niveau d’infection ne nécessite pas de traitement. Seule la présence de la rouille naine sur certaines parcelles peut être préoccupante.
L’épeautre reste toujours la céréale dominante en Ardenne avec près de 4.000 ha en 2016 (Statbel, 2018). Ses caractéristiques la rendent très intéressante en région froide : notamment, une bonne résistante à l’hiver, un très bon comportement face à une couverture neigeuse, une faible sensibilité aux pathogènes responsables de pourritures (Microdochium nivale…) et une grande faculté de récupération, une bonne résistance à la germination sur pied et, enfin, une bonne production de paille.
Des dégâts occasionnés par Typhula, un genre de champignon inféodé au sol, ont été signalés la semaine dernière. Celui-ci infecte le collet et les gaines foliaires des céréales d’hiver, en particulier l’orge.
Le Service Produits phytopharmaceutiques et Engrais du SPF Santé Publique, Sécurité de la Chaîne Alimentaire et Environnement a récemment clarifié la terminologie relative au traitement des cultures de céréales.
Le réseau d’observation du Cadco révèle qu’en matière de jaunisse nanisante de l’orge, tant en escourgeon et froment, l’hiver a eu raison des pucerons.
On en parle, on en parle... Mieux, on va observer leur possible apparition dans les cultures. Et le cas échéant, on les combat. Mais, ces maladies de l’escourgeon, les connaît-on si bien que cela?
Carboxamides ou SDHI, strobilurines ou QoI, triazoles, morpholines… autant de familles chimiques agréée dans le cadre de la lutte chimique contre les champignons responsables de maladies dans les céréales. Mais au fait, qu’est-ce qui les distinguent quant à leurs modes d’action ?
FranceAgriMer a revu le 14 mars une nouvelle fois à la baisse les exportations 2017-2018 de blé tendre français vers les pays tiers à 8,5 millions de tonnes (contre 9 Mt le mois dernier), admettant que « la Russie assoit sa domination sur le marché international ».
L’hiver, d’abord marqué par de fortes pluies battantes, et ensuite par des périodes de froid assez sévère, n’a pas été favorable à la survie des pucerons.
Selon une étude commandée par la Commission européenne, si l’Union européenne a nettement augmenté ses capacités de stockage de grains, ces dernières années, elle doit cependant encore réaliser certains investissements notamment dans les infrastructures de transport pour réduire les goulots d’étranglement.
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