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Plus qu’un film, « Au nom de la terre » est pour son réalisateur, Édouard Bergeon, l’opportunité de changer les choses, de raconter l’agriculture européenne et ses travers et de lever le voile sur pas mal d’inconnues qui poussent les consommateurs à juger injustement les agriculteurs. Il le dit et le répète : « Pas de pays sans paysans ! »
« Au nom de la terre » dresse le portrait de la situation économique désastreuse dans lequel se trouve le secteur agricole français, belge… européen. Le film met en avant les relations commerciales biaisées et les décisions unilatérales qui y sont prises. Il nous rappelle le rôle premier des paysans et confronte les citoyens aux réalités du terrain mais pas seulement… Il nous renvoie aussi aux moments heureux et aux obstacles malheureux qui jalonnent la vie des agriculteurs depuis des décennies.
Dans ses perspectives à court terme pour le secteur européen du lait, dont les premiers éléments ont été présentés en avant-première aux experts de l’Observatoire du marché laitier en septembre, la Commission européenne estime que la collecte de l’UE devrait augmenter de 0,5 %,au cours de cette année.
En pourparlers depuis plusieurs mois, le Japon et les États-Unis ont signé le 25 septembre le premier volet d’un accord de libre-échange ouvrant en particulier le marché japonais aux produits agroalimentaires américains, viande de bœuf et de porc en tête.
Le nouveau ministre wallon de l’Agriculture, Willy Borsus, est aussi en charge de l’Économie et du Commerce extérieur. Une réelle opportunité pour celui qui dit vouloir augmenter le revenu des agriculteurs et valoriser les produits régionaux tant sur le marché intérieur qu’à l’export.
L’accord de libre-échange entre l’Union européenne et les pays du Mercosur était encore au centre des débats, fin septembre à Bruxelles, où les députés de la commission de l’Agriculture du Parlement européen (Comagri) ont de nouveau exprimé leurs inquiétudes quant à son impact négatif sur le secteur agricole de l’UE.
Des milliers d’agriculteurs manifestaient mardi à La Haye avec leurs tracteurs pour dénoncer la politique du gouvernement néerlandais dans la lutte contre le réchauffement climatique, estimant que leur profession en était «injustement» devenue le bouc-émissaire.
Le commissaire désigné par la Pologne, Janusz Wojciechowski, peine vraisemblablement à convaincre les eurodéputés de sa compétence à assurer la gestion du délicat portefeuille de l’Agriculture dans la commission d’Ursula von der Leyen.
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