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Voir l'offre d'abonnementÀ Lichtaert, en province d’Anvers, Luc et Mia Buyens-Vermissen sont à la tête d’un élevage de lapins depuis 1985, année de construction de leur première étable. Si celle-ci ne comptait initialement que 450 lapines reproductrices, le couple élève aujourd’hui 1.400 mères et dispose de trois bâtiments.
Alors que les négociations commerciales entre l’Union européenne et le Royaume-Uni semblent toucher à leur fin, les agriculteurs et les coopératives agricoles d’Europe (Copa-Cogeca), les fabricants de produits alimentaires, les commerçants et les travailleurs du secteur agroalimentaire (Celcaa, FoodDrink Europe et Effat) viennent de publier une déclaration conjointe suivante pour indiquer ce qu’il faudra faire ensuite.
La crise sanitaire que nous traversons a provoqué des changements de comportement dans nos habitudes de consommation. Contraint par la limitation des déplacements, par l’interdiction des fortes concentrations humaines et par les pénuries en grandes surfaces, le consommateur s’est davantage tourné vers les produits locaux et les circuits courts. Parmi eux, les productions maraîchères où le cheval de trait constitue fréquemment une source d’énergie renouvelable. En témoignent, deux maraîchers professionnels.
Ce 8 décembre, la présence du virus hautement pathogène H5 de la grippe aviaire a été constatée chez des volailles d’un particulier installé à Dinant. Pour éviter la propagation du virus, une zone tampon temporaire de 500 m a été mise en place autour de cette contamination. Aucun élevage professionnel de volailles se trouve dans cette zone tampon.
Pourquoi serait-il nécessaire de transporter autant d’animaux vivants dans l’Union européenne et au-delà ? Notre ambition est de réduire ce nombre », a indiqué le commissaire européen à l’Agriculture, Janusz Wojciechowski, le 2 décembre, à l’occasion d’un échange avec la commission d’enquête du Parlement européen sur la protection des animaux pendant leur transport.
La teneur en mycotoxines dans la récolte de maïs est à nouveau faible cette année. La Fegra et la BFA, les fédérations belges du négoce en grains et de l'alimentation animale, ont à nouveau effectué cette année un suivi ciblé afin de déterminer la présence de mycotoxines dans le maïs après la récolte (à titre d'alerte précoce ou «Early warning»). Elles ont pu compter sur leur propre plan d'échantillonnage pour collecter les données, ainsi que sur les informations complémentaires issues des membres de la BFA.
Après plusieurs pays du Nord de l’Europe, la Belgique a confirmé la présence d’un foyer d’influenza aviaire hautement pathogène H5 à Menin, en Flandre occidentale. Il s’agit du premier foyer dans une exploitation belge depuis 2017.
En matière d’élevage ovin, la Belgique fait figure de petit poucet par rapport aux autres pays européens. Notre taux d’autosuffisance n’atteint que 15 à 20 % ce qui, en théorie, laisse entrevoir de belles perspectives de croissance, notamment financière, aux éleveurs. En effet, si l’offre est inférieure à la demande, les prix doivent grimper. La réalité est cependant tout autre, car les frontières de la Belgique, et plus largement de l’Europe, sont ouvertes aux importations.
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