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Voir l'offre d'abonnementDopées par la demande des consommateurs, certaines filières bio, tant animales que végétales, ont enregistré un taux de croissance particulièrement important en 2019. Si d’autres rencontrent davantage de difficultés, on peut néanmoins affirmer que le secteur se montre en bonne santé, en témoigne la hausse du nombre de fermes et de la SAU sous contrôle bio en Wallonie.
Tant pour l’éleveur que pour le bétail, les mouches entraînent souvent des nuisances et de la nervosité. Elles peuvent également être vecteurs de germes et ainsi mettre la santé des animaux sous pression. La gêne occasionnée peut mener à une réduction de la production laitière et/ou à une mauvaise conversion alimentaire. Si on ne parvient jamais à s’en débarrasser totalement, une bonne gestion permet de contrôler leur population et de limiter les aspects négatifs.
Delhaize annonce vouloir changer son modèle d’approvisionnement en bœuf en collaborant plus étroitement avec les éleveurs bovins belges. La marque s’engage à signer des conventions avec eux et à leur accorder une prime supplémentaire afin d’influencer positivement les prix du marché. L’objectif est d’atteindre 100 % de l’assortiment exclusivement fourni en direct par des éleveurs belges.
Cette année, la campagne de promotion habituelle menée par l’Apaq-w et ses partenaires prend une forme différente vu la pandémie de Covid-19.
Les ministres de l’Agriculture de l’UE ont dit le 8 juin leurs inquiétudes liées aux stratégies « de la ferme à la table » et « biodiversité » proposées par la Commission européenne.
Ce ne sont pas 15 milliards € qui ont été ajoutés au budget de la politique agricole commune dans la nouvelle proposition de cadre financier pluriannuel pour 2021-2027, mais bien « 26,4 milliards € », a précisé le commissaire européen à l’agriculture, le 2 juin.
En raison de la crise du coronavirus, la famille Swagers, qui s’était portée candidate pour la reprise de l’Abattoir de Bastogne, a annoncé qu’elle se retirait du projet.
Alors que la crise du Covid-19 a mis en lumière la complexité des échanges commerciaux avec de multiples interactions en matière d’approvisionnement, la Commission Von Der Leyen négocie actuellement un accord de libre-échange avec la Nouvelle-Zélande, avec en première ligne les produits laitiers.
Est-ce un agriculteur ou un boucher qui est à la tête de la ferme « Hof ter Berchemveld » ? Geert Leyssens préfère ne pas répondre. Ou mieux : il ne peut pas et ne veut pas choisir, car il combine les deux fonctions avec la même passion. Et le consommateur apprécie autant cette double casquette que la qualité de la viande écoulée. La boucherie de la ferme connaît d’ailleurs une fréquentation record depuis le début de la crise sanitaire du Covid-19.
Même si pour les producteurs de lait et leurs vaches, la vie tourne 365 jours par an autour du lait, le 1er juin – la Journée mondiale du lait – reste une date particulière. « C’est un jour où nous devons regarder de l’avant. Un jour où nous voulons montrer ce qui constitue un secteur laitier équitable et durable, aussi bien d’un point de vue social qu’écologique », explique l’European Milk Board (EMB).
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