Recevez Le Sillon Belge chaque semaine chez vous et bénéficiez d'un accès à tout le site : Articles, météo et cotations des marchés agricoles
Voir l'offre d'abonnementPression sur la biodiversité, pertes économiques agricoles et forestières, nuisance à la santé publique. Des scientifiques d’institutions françaises viennent de livrer l’estimation la plus complète des coûts engendrés par les espèces envahissantes : près de 1.300 milliards de dollars en l’espace de 40 ans. L’augmentation annuelle de ces coûts, encore très largement sous-estimés, ne montre aucun signe de ralentissement. Au contraire, elle ne cesse de progresser depuis quelques décennies.
Le WWF évalue à 16 % l’impact de l’UE sur la déforestation associée au commerce international, ce qui la place au 2e rang mondial, juste derrière la Chine. L’ONG appelle la Commission s’attaquer, dans une proposition législative attendue d’ici juin, à l’intégralité de l’empreinte de la consommation européenne sur les forêts et autres écosystèmes.
L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a demandé mardi la suspension dans le monde entier de la vente de mammifères sauvages vivants sur les marchés alimentaires en raison des importants risques de transmissions à l’homme de nouvelles maladies infectieuses.
La Fao s’attend à ce que la production céréalière mondiale enregistre sa troisième année consécutive de hausse en 2021.
À la rencontre de Febev, la fédération belge qui représente les abattoirs, les ateliers de découpe et les transformateurs de viande fraîche, et plus précisément de son secrétaire général Michael Gore, à l’occasion d’une interview par la Fevia au sujet de la résilience de ce secteur, des tendances et de l’évolution des exportations.
La production laitière est un secteur pour lequel l’ambition européenne de porter la part du bio à 25 % d’ici à 2030 sera très difficile à atteindre.
Au cours du troisième mois de l’année, les huiles végétales ont tiré l’indice Fao des prix des produits alimentaires vers le haut, alors que les cours des céréales ont légèrement reculé.
De jeunes agriculteurs, inquiets pour leur avenir, vont parcourir la Flandre cette semaine avec une colonne de tracteurs. Ils craignent notamment l’imminence de réglementations plus strictes sur l’azote, a indiqué lundi l’initiateur de la manifestation, Groene Kring, organisation soeur du syndicat agricole flamand Boerenbond.
L’offre réduite dans les principaux bassins exportateurs tire les prix de la viande ovine. La production a baissé en Irlande, en raison de sorties d’agneaux tardives, et au Royaume-Uni, du fait de l’affaiblissement du cheptel ovin. En Océanie, les abattages ont été aussi ralentis en janvier 2021. Face à une demande internationale élevée, les cotations atteignent des niveaux records.
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